Kouign-amann glacé en 25 minutes : cette fusion bretonne surpasse tous les desserts d’été

L’été dernier, lors d’un voyage en Bretagne avec ma famille, j’ai découvert dans une petite pâtisserie de Douarnenez une création qui m’a littéralement bluffée : le kouign-amann glacé. Cette fusion entre tradition bretonne et fraîcheur estivale a révolutionné mes desserts d’été. Mes enfants qui boudent habituellement les pâtisseries trop riches en ont redemandé trois fois ! Depuis, j’ai perfectionné ma propre version et je peux vous dire qu’elle surpasse tous les desserts glacés du commerce.

Vous aussi vous cherchez LE dessert qui impressionne sans vous faire transpirer en cuisine ? Cette recette combine le croustillant caramélisé du kouign-amann traditionnel avec la fraîcheur d’une glace maison, créant un contraste de textures absolument divin.

Je vais vous partager tous mes secrets pour réussir cette merveille qui fait sensation à chaque fois. Croyez-moi, après avoir testé cette technique des dizaines de fois, je peux vous garantir un résultat spectaculaire qui fera de vous la reine ou le roi des desserts estivaux !

L’histoire gourmande derrière ce kouign-amann glacé

Le kouign-amann, ce « gâteau au beurre » en breton, est né de l’ingéniosité des pêcheurs de Douarnenez qui mélangeaient leurs restes de pâte à pain avec du beurre salé et du sucre. Cette pâtisserie rustique est devenue au fil du temps un symbole de la Bretagne gourmande.

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Ma version glacée respecte l’âme de cette tradition tout en l’adaptant aux chaleurs estivales. L’idée m’est venue en observant comment les pâtissiers bretons conservaient leurs kouign-amann au frais pour éviter qu’ils ne ramollissent par forte chaleur. Pourquoi ne pas pousser le concept plus loin avec une véritable transformation glacée ?

Les ingrédients secrets de cette réussite

Les indispensables de base

Pour 6 portions : 300g de farine T55, 200g de beurre salé breton (impératif !), 200g de sucre en poudre, 15g de levure boulangère fraîche, 150ml d’eau tiède, 1 œuf pour la dorure. Pour la partie glacée : 500ml de crème liquide entière, 4 jaunes d’œufs, 80g de sucre, 1 cuillère à café d’extrait de vanille.

Mes petits plus qui font la différence

Mon secret ? J’ajoute une pincée de fleur de sel dans ma glace et 2 cuillères à soupe de caramel au beurre salé maison pour intensifier les saveurs bretonnes. Pour ceux qui n’ont pas de beurre salé, mélangez 200g de beurre doux avec 1 cuillère à café de gros sel.

Ma méthode étape par étape

La préparation en 3 temps

Délayez la levure dans l’eau tiède pendant 10 minutes. Mélangez la farine avec la levure délayée pour former une pâte souple, pétrissez 8 minutes puis laissez reposer 1 heure. Pendant ce temps, malaxez le beurre salé avec le sucre jusqu’à obtenir une pâte homogène. Cette étape de préparation du beurre sucré est cruciale pour le feuilletage parfait.

La cuisson parfaite minutée

Étalez la pâte en rectangle, répartissez le mélange beurre-sucre, pliez en trois puis répétez l’opération deux fois avec 30 minutes de repos au frais entre chaque tour. Façonnez dans des moules individuels beurrés, laissez lever 45 minutes à température ambiante, dorez à l’œuf et enfournez 25 minutes à 180°C.

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Mes astuces pour un résultat parfait

Les erreurs à éviter absolument

Ne jamais mettre le sel directement en contact avec la levure : cela la tuerait ! Respectez impérativement les temps de repos au frais, sinon votre beurre va fondre et vous perdrez le feuilletage. Et surtout, ne baissez pas la température du four : le caramel a besoin de cette chaleur pour se former correctement.

Mes techniques de pro à la maison

Ma technique secrète pour la glace : je la prépare la veille et j’y incorpore des morceaux de kouign-amann refroidis et émiettés. Cela crée des pépites croustillantes irrésistibles ! Pour un résultat encore plus spectaculaire, je sers le kouign-amann tiède avec la glace bien froide.

Ma note perso : J’ai découvert qu’en perçant délicatement le dessus du kouign-amann avec une fourchette avant cuisson, j’évite qu’il gonfle trop et j’obtiens une surface plus régulière pour poser ma glace.

Présentation et accompagnements

Comment je présente ce plat

Je sers chaque kouign-amann tiède dans une assiette froide, surmonté d’une généreuse quenelle de glace vanille-caramel. L’effet visuel du contraste chaud-froid est saisissant ! Un filet de caramel maison autour de l’assiette apporte la touche finale gourmande.

Mes suggestions d’accompagnement

Pour un repas entre amis, je propose ce dessert après des entrées fraîches et légères. Un café corsé ou un digestif breton comme le Lambig subliment parfaitement cette création. Les fruits rouges frais apportent une acidité bienvenue qui équilibre la richesse du dessert.

Mes réponses à vos questions sur le kouign-amann glacé

Peut-on préparer ce dessert à l’avance ?

Absolument ! Les kouign-amann se conservent 2 jours dans une boîte hermétique et se réchauffent 5 minutes au four à 160°C. La glace se garde 1 mois au congélateur dans un récipient hermétique.

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Comment éviter que la glace fonde trop vite ?

Sortez la glace du congélateur juste au moment de servir et placez vos assiettes au réfrigérateur 30 minutes avant. Cette astuce simple prolonge considérablement le plaisir de dégustation.

Existe-t-il une version allégée ?

Vous pouvez remplacer une partie du beurre par de la compote de pommes pour alléger, mais le goût sera différent. Pour la glace, optez pour une version au yaourt grec et édulcorant naturel.

Ce kouign-amann glacé est devenu LE dessert phare de mes repas estivaux. Mes invités repartent toujours avec la recette et me remercient encore des semaines plus tard ! Cette fusion parfaite entre tradition bretonne et modernité glacée prouve qu’on peut respecter l’authenticité tout en innovant. À vous de jouer maintenant, et n’hésitez pas à me raconter vos propres expériences avec cette recette révolutionnaire !

Suzy
Je suis un vrai plat mijoté : un peu sucrée, un peu piquante, toujours pleine de saveur ! Mariée à mon homme-croquant-fondant et maman d’une petite crème brûlée qui fait fondre tout le monde avec ses sourires. J’aime voyager, dévorer le monde à pleines dents… et reprendre une assiette, parce que bon, une vie sans rab, c’est comme un gratin sans fromage : triste.